vendredi 30 juin 2017

Joseph VAN DEN REYSEN. "Le thème du cauchemar chez Jabra Ibrahim Jabra et Rachid Da'if". (Mémoire de Maîtrise d'Arabe).





(Dans ces pages, se trouvent de brèves critiques de la psychanalyse, notamment. Ce qu'écrit mon père n'est pas du tout "stupide", et lui-même, il n'est pas davantage un homme stupide, ni ne l'a jamais été.

Mais la mentalité et le comportement de volailles enragées par leurs dogmes des psychanalystes qui ont pu lire les pages ci-dessous sont tellement minables et lamentables, qu'ils n'ont pu résister à, encore une fois, utiliser l'insulte (indirecte) contre mon père, en me "renvoyant" à une citation de Bertrand Russell, utilisée sur ce blog... (Du moins, je l'imagine).

Pourquoi ont-ils fait cela ? Parce qu'ils ont été terriblement vexés et humiliés de découvrir sous une plume et une argumentation limpides, la Vérité sur la psychanalyse, une fois de plus.

Ces "gens-là", les psychanalystes, sont en-dessous de tout. Leur lâcheté, leur bassesse, et pour tout dire leur connerie, sont tout à fait symptomatiques (...) de leur attachement délirant à leur ridicule doctrine : la psychanalyse.

Le père fondateur de la psychanalyse, comme l'a si magistralement démontré René Pommier dans deux de ses livres, était un jobard, un charlatan (voir aussi le livre de Jacques Bénesteau, et ceux de Mikkel Borch-Jacobsen), et sa théorie sur le rêve un délire pseudo-scientifique. (Voir, à ce sujet les travaux d'Allan Hobson, dans son livre "le cerveau rêvant").

Mais c'est René Pommier que nous retiendrons surtout : dans son dernier livre où il critique "La psychopathologie de la vie quotidienne" du fondateur de la psychanalyse, l'on découvre jusqu'à quel point ce dernier pouvait délirer, dire n'importe quoi, et user de méthodes argumentaires le plus souvent hilarantes ou ridicules ; sans parler de son usage du symbolisme lequel confine à la folie.

Ces psychanalystes sont de véritables sociopathes, des malades, et, je l'ai déjà dit, tout simplement de pauvres cons. Ils seraient incapables de soutenir le moindre argument linguistique, logique, épistémologique, ou même plus largement scientifique, contre les écrits de mon père. Le sachant très bien, il ne voient, comme les sociopathes et les crétins qu'ils sont, d'autre recours que l'insulte, et qui plus est, dans la lâcheté la plus crasse de l'anonymat.

Voilà le niveau de réception et de "réflexion" auquel il faut toujours s'attendre avec les psychanalystes : la nullité, l'ignorance, l'aveuglement, et encore et toujours, l'insulte et la connerie).



*



Voici l'introduction, puis les premières pages de ce mémoire :












(...)





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Psychanalystes, dehors !

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